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Patrice Evra

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Même largement amoindri, Liverpool a dicté sa loi contre Leicester dans l’un des chocs de la 9e journée de Premier League (3-0). Une victoire qui permet de battre le record d’invincibilité à domicile de l’histoire du club et de prouver encore la force collective de cet effectif. Mais, Patrice Evra, devenu consultant pour Sky Sports, en demande encore plus.

Pour lui, le Liverpool de Kloop n’est toujours pas la plus grande équipe de l’histoire de la Mersey : « nous devons nous calmer. Je les appellerai “grande équipe” quand ils remporteront trois titres de champion d’affilée. S’ils ne gagnent pas cette année, je ne les appellerais pas comme une équipe incroyable. C’est une question de cohérence : s’ils gagnent la ligue année après année, alors nous les considérerons comme la grande équipe de Liverpool ». L’ancien de Manchester United attend donc que ce groupe fasse au minimum aussi bien que les Reds version années 80. Une tâche bien compliquée…

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En ce 31 octobre un peu particulier avec le confinement qui touche la France, Patrice Evra garde le sourire ! En effet, l’ancien défenseur de l’équipe de France veut tout de même fêter Halloween. Et l’ex-joueur de Manchester United notamment est en grande forme. Dans une vidéo publiée sur son compte Instagram, Patrice Evra a déjà trouvé son costume et nous gratifie d’un joli pas de danse !

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Le PSG s’est incliné ce mardi (2-1) contre Manchester United, en Ligue des Champions. Une occasion pour Patrice Evra de se moquer à nouveau de l’échec du club francilien, mais surtout de fêter la victoire des Red Devils. Pas à son premier coup d’essai en la matière, l’ancien latéral gauche de MU a préféré, cette fois, pousser la chansonnette, et quelques pas de danse, pour railler son adversaire du moment.

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La claque est réelle pour Manchester United. Humiliés à Old Trafford par Tottenham (1-6), les Red Devils ont vécu une après-midi cauchemardesque. Un choc pour les membres du club, pour les supporters et pour les observateurs. Après cette rencontre, c’est désormais Ole Gunnar Solskjaer qui est dans l’œil du cyclone, lui qui a admis être responsable du naufrage. Une situation qui pourrait faire réfléchir les dirigeants mancuniens quant à l’avenir du coach norvégien, alors que le club est 16e de Premier League.

C’est en tout cas l’avis de Patrice Evra, ancien joueur du club et actuellement consultant sur Sky Sports, qui est apparu abattu à la fin du match : « je me sens triste. Aussi pour le manager, c’est lui qui sera le prochain à sauter, mais qu’en est-il du conseil ? Combien d’années depuis le départ de Ferguson, combien de managers ont été licenciés ? Chaque année, nous disons d’Ole n’est pas cet homme pour redresser MU ; peut-être qu’il ne l’est pas, peut-être qu’il l’est, nous ne savons pas ». Un Patrice Evra dépité en a profité pour remettre en question l’organigramme de la direction du club mancunien.

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Noël Le Graët assure ne pas regretter ses propos tenus le 15 septembre dernier, où il disait qu’il n’existait « pas ou peu » de racisme dans le football. Cela lui vaut pourtant quelques réponses bien salées, comme la dernière en date, signée Patrice Evra, ancien capitaine de l’équipe de France, désormais à la retraite. « Il faut faire virer Le Graët, parce qu’il a vraiment déconné », dit-il dans une vidéo publiée sur Instagram, avant de donner quelques exemples.

« Au château, tu sais très bien ce qu’il se passe. Combien de lettres racistes on reçoit ? “Didier reprends tes singes et dégage en Afrique! Barre-toi avec tes singes et tes gorilles!” Combien de lettres comme ça ? On les cache, mais j’en ai vu certaines. On reçoit même des cartons remplis de caca », assure Patrice Evra, avant de pointer du doigt une différence notée durant certains moments protocolaires. « On sait que l’équipe de France n’appartient à aucun joueur, mais au peuple français. Mais on a quand même des places attribuées. Quand on mange, on a l’habitude de se mettre à côté de ce gars, parce qu’on a de bonnes relations etc… Mais à chaque fois que le Président venait, ou des hommes politiques, tout changeait. J’étais assis là et, d’un seul coup, j’étais au bout de la table. Là où il y avait normalement Mamadou Sakho et Bacary Sagna, beaucoup de sombritude (sic), il fallait changer. On mettait un Hugo Lloris et un Laurent Koscielny et le Président au milieu ».

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