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Marcos Llorente

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Le dernier exemple en date est celui de Sveinn Aron Gudjohnsen. S’il n’a pas encore joué avec les A, il vient de connaître sa première convocation avec l’Islande suite à ses performances récentes. Le joueur prêté par Spezia à Odense au Danemark marche sur les pas de son illustre père Eidur Gudjohnsen. L’ancien joueur de Chelsea et du FC Barcelone a connu 88 sélections (26 buts) avec les Strakarnir Okkar et a participé à l’épopée islandaise en 2016 qui s’est achevée en quart de finale contre la France (5-2). Il avait fait ses débuts en avril 1996 contre l’Estonie en remplaçant son père Arnór Gudjohnsen. Les Gudjohnsen ont donc lancé une dynastie en Islande qui a débuté en mai 1979 avec les débuts d’Arnór Gudjohnsen. D’ailleurs le frère de Svein Aaron, Andri Gudjohnsen, évolue actuellement avec les jeunes du Real Madrid et pourrait aussi participer à entretenir la tradition.

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L’Espagne et les Pays-Bas sont habitués

Le cas est souvent arrivé en Espagne. Petit fils de Marquitos qui a connu deux capes à la fin des années 1950 et de Marcos Alonso qui a connu 22 capes au début des années 1980, Marcos Alonso a brillé avec la Fiorentina et Chelsea. Avec les Blues, il a pu devenir international espagnol et a disputé trois matches en 2018. Actuellement sélectionné avec la Roja, Marcos Llorente est également issu d’une grande famille de footballeur. Le milieu de l’Atlético a connu 3 sélections pour le moment. Il a déjà battu son père Paco Llorente qui n’a connu qu’une cape (1 but). Par contre, il devra encore être régulier pour devancer son grand-père maternel. Le regretté Ramón Grosso avait disputé 17 matches avec l’Espagne pour 2 buts inscrits.

À la retraite, Xabi Alonso (Espagne) est un membre de la grande équipe d’Espagne avec qui il a gagné l’Euro 2008, la Coupe du monde 2010 et l’Euro 2012. Il a participé à 114 matches avec la Roja pour 16 buts. Son père Periko Alonso a lui aussi brillé en club et en sélection. Il a ainsi connu 20 sélections pour 1 but au début des années 1980. Enfin, Pepe Reina s’approche de la fin de sa carrière et n’a plus été appelé en sélection depuis la Coupe du monde 2018. Vainqueur de l’Euro 2008, de la Coupe du monde 2010 et de l’Euro 2012, il a souvent officié comme doublure, mais compte quand même 38 capes. Son père Miguel Reina qui était lui aussi gardien que ça soit à Barcelone ou à l’Atlético de Madrid a disputé 3 matches sous la tunique espagnole. Les Pays-Bas ne sont pas en reste dans ce domaine. L’exemple le plus frappant est celui de Jordi Cruyff.

Utilisé à 9 reprises (1 but) en sélection néerlandaise, il a notamment participé à l’Euro 1996. Son père Johan a davantage brillé avec notamment une finale lors de la Coupe du monde 1974 face à l’Allemagne (défaite 2-1). Riche, la carrière de Johan Cruyff en sélection a été courte. Ce dernier a néanmoins un bilan extrêmement impressionnant avec 33 buts et 20 passes décisives en 48 matches avec les Oranjes. Plus récemment, Daley Blind s’est imposé comme l’un des joueurs clefs de sa génération avec pas moins de 76 capes (2 buts) avec les Pays-Bas. Son père Danny Blind avait lui aussi connu une très belle carrière en sélection avec 42 capes majoritairement durant les années 1990. Fils de Patrick Kluivert (79 capes, 40 buts), Justin Kluivert tente lui aussi de marcher sur les pas de son père. Déjà capé à deux reprises, le joueur du RB Leipzig a encore beaucoup de chemin à faire, mais a également atteint le statut d’international.

Des exemples anciens et plus récents

L’exemple le plus marquant reste bien entendu celui de Paolo Maldini. Légende du football italien, le défenseur aux cinq Ligue des Champions a connu 126 capes avec l’Italie (7 buts) entre 1988 et 2002. Son père Cesare Maldini a lui aussi brillé avec le Milan AC et la Nazionale puisqu’il a connu 14 capes. E, Angleterre, Shaun Wright-Phillips (36 capes, 6 buts) a lui aussi suivi le chemin tracé par son père Ian Wright (33 capes, 9 buts) et a montré de belles choses entre 2004 et 2010. Le Polonais Euzebiusz Smolarek appelé aussi Ebi a lui connu 47 capes avec la Pologne (19 buts) tandis que son père Wlodzimierz Smolarek a disputé 60 matches (14 buts) avec notamment une demi-finale lors de la Coupe du monde 1982. Plus récemment, on a l’exemple Marcus Thuram en France. Déjà capé à trois reprises avec les Bleus, l’attaquant du Borussia Mönchengladbach aura du mal à dépasser son père qui a connu 140 capes avec les Bleus dont un titre mondial en 1998 et l’Euro 2000.

Comme nous vous l’avons récemment raconté, Jordan Larsson commence à briller au Spartak Moscou et possède 5 capes avec la Suède. Son père Henrik Larsson est lui un monument avec ses 104 capes (37 buts) et notamment une demi-finale lors de l’Euro 1994. Également dans le nord de l’Europe, Kasper Schmeichel brille avec le Danemark. Vainqueur de la Premier League comme son père Peter, il est aussi le meilleur portier de sa génération comme son géniteur. Pourtant, Kasper Schmeichel (62 capes) ne devrait pas dépasser les 126 sélections de son père. Peter Schmeichel avait même marqué un but avec le Danemark sur penalty. En Norvège, tout le monde s’extasie devant le phénomène Erling Braut Haaland. Déjà utilisé à 9 reprises (6 buts) avec la formation norvégienne, il devrait rapidement dépasser les 34 capes d’Alf-Inge Haaland au cours des années 1990.

Actuellement performant à la Juventus, Federico Chiesa a déjà connu 23 capes (1 but) avec l’Italie. Son père Enrico avait eu 17 sélections (7 buts) à la fin des années 1990. Récemment buteur avec la Roumanie, Ianis Hagi (16 matches, 1 but) a repris le flambeau de Gheorghe Hagi. Ce sera dur d’être aussi marquant que le Maradona des Carpates et ses 125 capes (35 buts), mais Ianis Hagi est en train de grandir patiemment en sélection et avec les Glasgow Rangers. Pierre-Emerick Aubameyang n’a pas encore dépassé son père Pierre (80 capes avec le Gabon), mais continue de jouer. Avec 51 capes et 20 buts, l’attaquant d’Arsenal reste l’homme fort de son pays en matière de football. Encore en Afrique, André Ayew et Jordan Ayew ont multiplié leurs capes avec le Ghana comme l’avait fait Abedi Pelé auparavant. Fils de Diego Simeone, Giovanni Simeone a aussi porté le maillot de l’Argentine comme son père. Même son de cloche pour Denis Cheryshev fils de Dmitri Cheryshev. Enfin, l’ancien international brésilien Mazinho a vu ses fils Rafinha (Brésil) et Thiago (Espagne) porter le maillot de deux sélections différentes.

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La nouvelle a provoqué un gigantesque tollé en Espagne. Manchester United préparait une offre astronomique de 80 millions d’euros pour attirer Marcos Llorente dans ses filets. Le milieu espagnol qui a marqué neuf réalisations et distillé huit passes décisives en Liga cette saison avec les Colchoneros, demeure un élément incontournable du onze façonné par Diego Simeone.

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Et ça, la direction de l’Atlético de Madrid ne l’occulte pas. Selon les informations de Marca, les pensionnaires du Wanda Metropolitano ne veulent absolument pas entendre d’un départ du joueur l’été prochain. Pour s’attacher les services de Llorente, Manchester devra payer sa clause libératoire soit 120 millions d’euros. De quoi refroidir les ardeurs mancuniennes ? Affaire à suivre…

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Ces dernières années, le Real Madrid a décidé de se séparer de plusieurs de ses jeunes éléments. Certains sont partis dans un certain anonymat avant de se révéler sous d’autres horizons, alors que d’autres départs ont été plutôt médiatisés. Entre joueurs prêtés, vendus avec option de rachat et définitivement vendus, les Merengues voient comment bon nombre d’anciens pensionnaires du Santiago Bernabéu réussissent loin de Concha Espina. Une situation qui peut agacer, comme le rapporte le quotidien AS, qui fait le point ce mercredi. Il faut dire qu’ils sont nombreux à ne plus être vraiment considérés au niveau dans l’effectif des Blancos, à l’image d’Isco, de Marcelo ou de joueurs qui n’ont toujours pas convaincu comme Jovic, Militao et Vinicius Junior.

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« Le futur Real Madrid raté », titre le journal, qui cite les joueurs qui auraient fait énormément de bien aux Madrilènes aujourd’hui. Le premier nom qui vient à l’esprit n’est autre que celui de Marcos Llorente. Peu utilisé par Zinedine Zidane, avec qui la relation serait loin d’être idéale, il a rejoint l’Atlético pour 30 millions d’euros à l’été 2019, et ce alors que le coach français n’a toujours pas de remplaçant pour Casemiro. Même s’il a adopté un rôle plus offensif sous la tunique des Colchoneros, évoluant pratiquement en tant qu’attaquant, nul doute qu’il aurait eu une carte à jouer dans ce Real Madrid si seul l’argument sportif primait. Balle au pied, il semble même plus intéressant que le Brésilien.

Mayoral plutôt que Jovic ou Mariano ?

Dans un registre similaire, Dani Ceballos (Arsenal) aurait aussi pu être une solution intéressante selon le quotidien, tout comme Brahim Diaz (Milan), qui s’épanouit en Lombardie. Tous deux auraient été, dans des registres différents, des joueurs ayant pu en partie remédier aux soucis d’animation offensive du Real Madrid. Point positif : ils reviendront vraisemblablement à Madrid au terme de leur prêt respectif. Achraf Hakimi (Inter) et Theo Hernandez (Milan) auraient aussi fait du bien, surtout à l’heure où Marcelo n’avance plus à gauche, et qu’à droite, Lucas Vazquez a dû être repositionné en raison des blessures.

Devant, Borja Mayoral (AS Roma) et Raul De Tomas (Espanyol) ne sont pas forcément dans des situations excellentes, le premier venant de faire ses débuts à la Roma et le deuxième jouant en deuxième division, mais ils sont présentés par le journal comme des joueurs dont le talent aurait pu être exploitable, à l’heure où Zidane ne semble pas vraiment faire confiance au duo Mariano-Jovic pour donner du repos à Karim Benzema. De quoi, pour certains des joueurs cités ici, se mordre les doigts dans les bureaux du Santiago Bernabéu…

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C’était, sur le papier, un très joli duel programmé ce soir au Wanda Metropolitano, où l’Atlético de Madrid, 4e, recevait le promu Cadix, surprenant 5e, pour le compte de la 9e journée de Liga. Dans leur antre, les Colchoneros n’avaient besoin que de huit minutes et quelques fulgurances pour ouvrir le score, œuvre de João Felix, attentif et habile de la tête dans la surface, à la réception d’un centre de Marcos Llorente (1-0, 8e). Appelé pour la première fois en sélection espagnole par Luis Enrique, Llorente, 25 ans, offrait à l’Atléti le deuxième but de la soirée. Après s’être arraché dans la surface, il glissait le ballon du droit entre le gardien andalou et le poteau (2-0, 22e).

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Deux tons au-dessus, l’Atlético de Madrid repartait avec les mêmes intentions en seconde période. Lancé à la limite du hors-jeu par João Felix, Luis Suarez battait à son tour Jeremias Ledesma, d’un tir croisé du gauche plein de sang froid. Il devait différer sa joie car la VAR faisait son œuvre. Mais le but était bien validé (3-0, 55e). Sur le banc, Diego Simeone pouvait jubiler. Son équipe grimpait à la deuxième place, à égalité de points avec la Real Sociedad, actuel leader, avec un match en retard à disputer. Venu pallier le départ de Thomas Partey il y a quelques jours, l’international centrafricain Geoffrey Kondogbia accompagnait Thomas Lemar sur le pré pour les vingt dernières minutes. João Felix profitait lui d’une offrande d’Angel Correa pour s’offrir un doublé (4-0, 90e) pour propulser l’Atléti seul en tête de La Liga, grâce à une différence de buts favorable.

Le classement de la Liga après 9 journées.

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Au lendemain de la liste de 26 joueurs dévoilée par Didier Deschamps pour les trois prochaines rencontres des Bleus, Luis Enrique a annoncé sa liste en prévision des rencontres disputées par la Roja aux Pays-Bas (amical, 11 novembre), en Suisse (Ligue des nations, 14 novembre) et face à l’Allemagne (Ligue des nations, 17 novembre). Dans le groupe 4 de la Ligue A, les Espagnols occupent la tête (7 points), devant l’Allemagne (6 points), l’Ukraine (6 points) et la Suisse (2 points), à deux journées de la fin. Le sélectionneur de l’Espagne a convoqué 25 joueurs.

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Présents lors du dernier rassemblement d’octobre (0-0 au Portugal, victoire 1-0 face à la Suisse, défaite 1-0 en Ukraine), Iago Aspas (Celta), Thiago (Liverpool), Dani Ceballos (Arsenal) et José Campãna (Levante) n’ont pas été appelés. De leur côté, Íñigo Martínez (Bilbao), Alvaro Morata, étincelant avec la Juventus, Koke (Atlético de Madrid), Marcos Llorente (Atlético de Madrid) et Fabián Ruiz (Naples), font leur apparition.

Le groupe de l’Espagne

Gardiens : Kepa, De Gea, Unai Simón.

Défenseurs : Sergi Roberto, Jesús Navas, Sergio Ramos, Eric García, Pau Torres, Iñigo Martínez, Gayà, Reguilón.

Milieux : Rodri, Busquets, Fabián, Canales, Merino, Koke, Marcos Llorente.

Attaquants : Adama Traoré, Dani Olmo, Ferrán Torres, Gerard Moreno, Morata, Ansu Fati, Oyarzábal.



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Si le championnat espagnol était représenté par le Clásico entre le FC Barcelone et le Real Madrid ce samedi (1-3), un choc se déroulait entre l’Atlético de Madrid et le Real Betis Balompié. Respectivement 10e et 9e, les Colchoneros et les Verdiblancos pouvaient remonter à la deuxième place derrière le Real Madrid en cas de succès. Un enjeu important pour les deux équipes qui se neutralisaient assez logiquement lors des 45 premières minutes de jeu.

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L’Atlético de Madrid se rattrapait assez vite en seconde période avec Marcos Llorente qui s’engouffrait sur la gauche de la surface et ajustait Claudio Bravo d’une frappe croisée (1-0, 46e). L’Atlético de Madrid tentait alors de se mettre à l’abri mais Hector Herrera (58e), Yannick Carrasco (59e) et Luis Suarez (68e) ne trouvaient pas la faille. Le Betis se retrouvait ensuite réduit à 10 suite au carton rouge de Martin Montoya (72e). En supériorité numérique, l’Atlético de Madrid parvenait à marquer un nouveau but en fin de match grâce à Luis Suarez (2-0, 90e +1). Le club madrilène s’impose 2-0 et grimpe à la deuxième place du championnat derrière le Real Madrid et devant la Real Sociedad.

Le classement de la Liga

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