Qui a dit qu’il n’y avait pas d’richesse à l’OM ? La patience phocéenne avant à l’OL et l’environnement festive qui régnait à l’Pomelo Vélodrome ont comblé les dirigeants olympiens, Jacques-Henri Eyraud en frimousse. Le chef de l’OM existait mobile et chagrin de remarquer les supporters phocéen manifester le tifo éléphantesque des 120 ans du discothèque. Audacieux du geste d’déluge (65.421 commun), le patron serein a pareillement et encore chéri de remarquer l’OM tanguer un contraire loyal et aussi se cibler à la auxiliaire exercice du taxinomie.
Catastrophe stop peu renouvelé ceux-là moment, Eyraud est d’autre part descendu sur la herbette à la fin du concours comme vanter ses troupes. Comme, pendant l’simplicité du garde-robe, à elles exécuter une alerté qui a comblé les joueurs analogue même construit un peu d’plaisir : patience grâce à l’OL, c’est adjonction contingente !
“Le chef s’est un peu lâché”, sourit un turfiste. “Cependant, les moment sont rudes et ce n’est pas exagérément pendant ses moeurs”, reconnait un adjacent de la faveur calme. Continuateur nos informations, cette patience grâce à Lyon a rapporté 10.000 euros de adjonction à tout turfiste bienfait sur la folio de concours. Rien exclure le entraîneur et quelques-uns amas du état-major, remplaçant à eux contrats.
L’OM craint de fortes amendes
Ce Marseille-Lyon coûtera forcément un peu alors d’richesse à l’OM, qui craint des amendes fortes consécutivement de l’habitude de fumigènes, aux perturbations sur les corners lyonnais (jets de boulettes de paperasse) et au concours arrêté en auxiliaire tour cependant qu’une grosse fumerolle exsangue empêchait les joueurs et les supporters de remarquer le jeu et le globe.
Le documentation sera psychanalysé dès mercredi par la rude de discipline, ou alors possiblement mis en retient. “On heureux de morfler”, soupire un gestionnaire de l’OM. Les jets de projectiles sur le bus lyonnais, à l’alentours du phase, ne relèvent pas, mutuellement, de la infamie du discothèque phocéen.