Footcloser.fr


Thomas Tuchel et Mikel Arteta sont les deux entraîneurs de Premier League qui avancent le plus souvent des excuses après des mauvais résultats, d’après une étude de The Athletic basée sur la saison passée.

Il y a les entraîneurs qui prennent chaque fois la responsabilité des mauvaises performances, et il y a les autres. Dans cette deuxième catégorie, on serait tentés de mettre Thomas Tuchel et Mikel Arteta, les techniciens de Chelsea et Arsenal. D’après une étude du média britannique The Athletic, ils étaient les deux entraîneurs de Premier League qui trouvaient le plus souvent des excuses aux mauvais résultats de leurs équipes lors de la saison 2021-2022.

L’Allemand est en tête de ce classement amusant. Dans ses interviews d’après-match, après des défaites ou des matchs nuls, il a avancé des excuses dans 57,9% des cas, pointant du doigt le Covid (3 fois), les décisions arbitrales (2), la chance (2), ses propres joueurs (2), la fatigue ou même l’état de la pelouse de Stamford Bridge, après une défaite contre Arsenal au mois d’avril.

Bielsa, bon élève de Premier League

Arteta n’est toutefois pas bien loin : lui a trouvé des excuses dans 55,5% des cas. Avec une petite variante, puisque son excuse préférée était l’arbitrage. C’est d’ailleurs ce qui est le plus souvent utilisé par les entraîneurs de Premier League au sens large, 67 fois au total sur l’ensemble de la saison dernière, loin devant le niveau des joueurs (37 fois) ou les blessures (20 fois).

Dans l’autre extrême du classement, ceux qui ont cherché le moins d’excuses sont les entraîneurs de Leeds : Marcelo Bielsa (13%), qui a toujours refusé de critiquer l’arbitrage mais a parfois pointé les blessures qui touchaient son équipe, et Jesse Marsch (12,5%). Ces deux-là, avec le coach de Brentford Thomas Frank, sont les seuls à ne jamais avoir l’utilisé l’arbitrage comme une excuse.



Source link
rmcsport.bfmtv.com #Tuchel #Arteta #spécialistes #des #excuses #après #les #mauvais #résultats

Auteur

Pied droit en or, pas de grigri, pas de chichi, un crochet une frappe et nous fermons le jeu, catenaccio :)