Après le match nul de l’OM face à Montpellier (1-1) ce vendredi en ouverture de la 29e journée de Ligue 1, Dimitri Payet a regretté la programmation du match. S’il ne cherche pas d’excuse à la contre-performance marseillaise, le meneur de jeu juge délicat de jouer le vendredi en sortie de trêve internationale.

Faut-il arrêter de programmer des matchs le vendredi juste après une trêve internationale? Dimitri Payet ne serait pas contre. Ce vendredi, l’OM a perdu des points dans la course à la deuxième place en concédant le nul face à Montpellier (1-1), en ouverture de la 29e journée de Ligue 1. Sans se trouver d’excuses, Payet note une préparation pas idéale en raison du retour tardif des internationaux.

« On connaissait l’importance de ce match, surtout qu’on jouait avant les autres. La déception est grande », note d’abord le meneur de jeu. Car Lens peut revenir à la deuxième place du classement en cas de victoire à Rennes samedi soir. Monaco peut aussi se rapprocher en battant Strasbourg dimanche.

« Cela fait deux fois qu’après les trêves, on joue le vendredi »

« On s’était dit à la mi-temps qu’il nous manquait un peu de rythme et de jus. Sans trouver d’excuses, on n’a pas eu d’autre choix que de préparer ce match dans l’urgence, avec des joueurs arrivés avant-hier soir, certains ont joué d’autres non, rappelle Dimitri Payet. Ce n’était pas la préparation optimale. Au delà de ça, on a manqué de rythme, de tout ce qui nous fait gagner habituellement. On a peu tenté, on a eu peu d’occasions. Je ne prends pas ça comme une excuse mais il faut le souligner. »

Dimitri Payet poursuit en rappelant que Marseille avait déjà hérité du créneau du vendredi soir après la trêve internationale de septembre (l’OM avait gagné 3-0 à Angers): « Cela fait deux fois qu’après les trêves, on joue le vendredi. Je ne dis pas que c’est contre l’OM mais il faut peut-être se pencher sur la question et voir avec les diffuseurs si après une trêve – que ce soit nous ou une autre équipe – on puisse réfléchir à ne pas avoir de match le vendredi. On a beaucoup d’internationaux, c’est un détail qui a compté mais ce n’est pas une excuse. »



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Pied droit en or, pas de grigri, pas de chichi, un crochet une frappe et nous fermons le jeu, catenaccio :)