Naples, contraint de se réinventer sans Koulibaly, Insigne ni Mertens, a fait le spectacle sur le terrain de l’Hellas Vérone (5-2) ce lundi pour ses débuts en Serie A, dans une rencontre marquée par des insultes racistes visant Victor Osimhen.

Encore un triste épisode dans le championnat italien… Naples, contraint de se réinventer sans Koulibaly, Insigne ni Mertens, a fait le spectacle sur le terrain de l’Hellas Vérone (5-2) ce lundi pour ses débuts en Serie A. Problème: cette rencontre a été marquée par des insultes racistes visant Victor Osimhen.

Le buteur nigérian du Napoli a été, comme la saison dernière dans le même stade, la cible de cris racistes descendus du virage des ultras véronais après avoir marqué juste avant la pause, comme l’a constaté l’AFP.

Un huis clos partiel la saison passée

Pas de quoi déstabiliser Osimhen ni le Napoli, qui s’est découvert avec Khvicha Kvaratskhelia un remplaçant déjà efficace sur l’aile gauche orpheline de Lorenzo Insigne: le jeune Géorgien (21 ans) a lui aussi marqué et offert un but.

Comme lors de sa gifle initiale (1-4) contre l’équipe de Serie B Bari en Coupe d’Italie il y a une semaine, l’Hellas a pourtant marqué en premier (Kevin Lasagna, 29e) et réussi à égaliser en début de seconde période (Thomas Henry, 48e).

Mais l’ex-équipe d’Igor Tudor, désormais entraînée par Gabriele Cioffi, doit elle aussi repartir sans quelques joueurs clés, dont l’attaquant Giovanni Simeone attendu prochainement à Naples, et n’a pas tenu la distance dans un match très rythmé. Naples a renversé la situation sur une tête de Kvaratskhelia (37e) puis une reprise d’Osimhen (45+3e), accueillie pendant quelques secondes par des cris racistes.

La saison dernière, pour des choeurs racistes visant déjà Osimhen et Kalidou Koulibaly, Vérone avait été condamné à disputer une rencontre avec un virage fermé.



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Pied droit en or, pas de grigri, pas de chichi, un crochet une frappe et nous fermons le jeu, catenaccio :)