Dans un entretien avec TyC Sport, le champion du monde argentin Lautaro Martinez est revenu sur la Coupe du Monde au Qatar. Il a expliqué comment il aurait tiré son penalty en finale contre la France.

Que se serait-il passé si Lautaro Martinez avait frappé le 5e tir au but argentin en finale de la Coupe du monde ? La question reste en suspens, puisque l’Argentine n’en a pas eu besoin pour décrocher sa troisième étoile au depens de l’Equipe de France.

Mais dans une interview accordée à la chaîne de télévision argentine TyC Sport, le buteur de l’Inter Milan a abordé le sujet. Il a notamment raconté comment il aurait frappé son tir au but si la séance s’était prolongée : « Si c’était mon tour, j’avais déjà décidé comment j’allais frapper. J’allais frapper fort et au milieu, comme le faisait mon père, parce que je ne voulais pas prendre de risque. Ensuite, c’est un peu de chance, parce que parfois le gardien plonge et touche le ballon et il entre quand même dans le but. »

Martinez voulait être le quatrième tireur

L’attaquant de l’Inter Milan était déjà le cinquième tireur argentin lors de la séance de tirs aux buts remportée contre les Pays-Bas (2-2, 3-4 T.A.B.) en quart de finale. Un tir au but qu’il avait converti en frappant en force sur la droite du gardien, offrant la qualification en demi-finale à l’Argentine. « Contre les Pays-Bas, j’ai décidé de décroiser ma frappe mais le destin m’a fait m’arrêter et changer de poteau. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de changer parce que j’allais frapper au-dessus de l’endroit où le gardien a plongé », a-t-il notamment expliqué.

Mais pour la finale, Martinez a expliqué avoir demandé à Gonzalo Montiel d’être le quatrième tireur, ce que le latéral droit lui a refusé. A juste titre puisqu’en transformant son tir au but, le défenseur du FC Séville envoyait l’Argentine sur le toit du monde pour la troisième fois de son histoire.



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Pied droit en or, pas de grigri, pas de chichi, un crochet une frappe et nous fermons le jeu, catenaccio :)