Présenté ce lundi à Nantes, Andy Delort, quatrième recrue du mercato d’hiver du FCN, est revenu sur son départ mouvementé de l’OGC Nice. Avec un peu de rancœur envers ses anciens dirigeants.
Une nouvelle aventure a débuté ce lundi pour Andy Delort. A 31 ans, l’avant-centre algérien (12 sélections avec les Fennecs) s’est engagé avec le FC Nantes sous la forme d’un prêt pour la fin de la saison, avec option d’achat obligatoire. Un deal qui expirera en juin 2025.
Mais avant de revêtir le maillot des Canaris, il a souhaité revenir sur les conditions de son départ de Nice, son ancien club. Très peu utilisé sous les ordres de Lucien Favre, le successeur de Christophe Galtier (limogé au début du mois), Andy Delort regrette que ses anciens dirigeants n’aient pas tenu leur promesse faite à la fin de la saison passée au sujet d’une revalorisation salariale.
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« Je n’arrive pas à faire semblant… »
« En fin de saison dernière le club a commencé à parler mais au final, des paroles n’ont pas été tenues, a-t-il regretté lors de sa présentation aux côtés de son coach Antoine Kombouaré. J’ai une parole. Quand on trahit sa parole, ça me fait mal au cœur. Je n’arrive pas à faire semblant… D’autres joueurs vont au clash, ne viennent pas à l’entraînement…. C’était compliqué. Après, je voulais absolument aller à Nantes. J’assume tout ce que j’ai dit et ce que je fais. »
De son côté, le Kanak, fan du joueur qu’il souhaitait déjà engagé à Lens, avait flairé la bonne affaire depuis longtemps : « J’ai vu la situation dans laquelle était Andy à Nice. Son dernier match de 90 minutes remonte au mois de septembre. Il ne jouait pas beaucoup et je voyais les problèmes soulevés là-bas. J’ai senti qu’il y avait un coup à jouer. J’en parle Franck (Kita, directeur général délégué) et Philippe Mao (coordinateur sportif). C’est comme ça qu’on a travaillé sur le dossier. » Nantes affrontera l’OM mercredi pour le compte de la 21e journée de Ligue 1.
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